Beethoven piano sonata no. 32 C minor opus 111 Daniel Alexander (Armin Kressmann, dessin, drawing)

Une performance-improvisation entre Daniel Alexander, musicien, et moi-même comme dessinateur et peintre. La sonate 32 pour piano de Ludwig van Beethoven en un seul dessin, créé pendant le récital de piano.

Suite avec un programme d’intelligence artificielle (Dall.e.2 openAI), ici.

Beethoven piano sonata no. 32 C minor opus 111

7 Comments

    1. Merci, cher Philippe. Oui, c’est vrai, c’est une expérience forte, d’ordre spirituel, qui ouvre des voies à des découvertes et interprétations nouvelles.
      Comment s’approcher de l’œuvre de Beethoven et au-delà de ce que cette œuvre vise. Un nouveau dialogue.
      Dans une prochaine étape nous avons l’intention d’inclure du public, d’abord comme écouteurs et spectateurs, spectatrices, ensuite comme acteurs et actrices.
      Aussi, nous ne cherchons pas la perfection, mais la rencontre, en ses dimensions diverses, modestement le « kaïros », un « bon » moment, le sublime accessible à tous,
      la sublimation dans le sens kantien, donc une sorte de transcendance. Et cela dans un esprit « protestant » (réformé ?), c’est-à-dire « down-up », le sacerdoce universel par et dans l’art.
      « C’est bon », ça suffit. Pas de perfection. Tout en donnant ce que nous pouvons donner, donc en mobilisant nos « talents », les talents de tous et toutes, au-delà du concert, au-delà de la « prestation ». Musique et dessin de chambre, ensemble. Une nouvelle forme de culte ?

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